CLIPS
Le long de ses années d’action la compagnie à produit différent clips de sensibilisation. Sur cette page figure un historique de ces dernier.
Ensemble déclarons la violence hors jeu
Réalisation : Stéphane Tournu-Romain, avec Raymond Domenech , Jean Djorkaeff , Jiovan et Tony Vairelles.
Ivre de rouge et rage de vaincu
Réalisation : Stéphane Tournu-Romain
Lorsque l’une de deux équipes marque un but au cours d’un match Clément, l’arbitre, se fait insulter par Georges et Gontran, respectivement ancien représentant du club et jeune suiveur. À cet instant, l’arbitre met temporairement fin au match afin d’avoir une discussion pédagogique avec ces derniers. Mais ceux-ci refusent d’entendre raison et sont donc expulsés du stade. Toujours hésitant à l’idée de faire reprendre le match, l’arbitre décide d’avoir une explication avec les joueurs sur ce qu’il vient de se produire, mais aussi afin de rappeler le règlement.
Tag’art la gueule à la mi-temps
Réalisation : Stéphane Tournu-Romain
Un couple de graffeurs, ayant remarqué la présence d’immondes tags racistes et homophobes décide de remplacer ces derniers par un dessin porteur d’un message plus positif. Cependant, l’un des basketteurs qui jouait non loin les interrompt en les invectivant abondamment. Ne possédant pas de véritables arguments, ce dernier fini par s’en prendre aux deux compères ainsi qu’à ses camarades basketteurs qui se sont rangés à leurs côtés. Dépité par l’absence totale de soutien, il finit par partir laissant les graffeurs reprendre leur œuvre de création et de paix.
Je Tu Elle
Réalisation : Stéphane Tournu-Romain
Une équipe de handball féminin se retrouve dans les vestiaires après une défaite. Mais la conversation qui s’y déroule ne tourne pas autour de ce dernier point, mais à propos de l’homosexualité d’une des joueuses, Julie. La conversation tourne presque au harcèlement lorsque l’une des autres filles décide d’employer une collection de blagues de mauvais goût à ce sujet. Bien que certaines autres joueuses prennent sa défense, Julie craque sous la douche. La blagueuse se rendant compte du mal qu’elle a causé sans vraiment le vouloir fini par aller s’excuser auprès de cette dernière.
Les Sens Interdits
Réalisation : Stéphane Tournu-Romain
Lors d’une balade à vélo, un groupe de jeunes décident de s’arrêter dans une clairière. C’est à ce moment que l’une des protagonistes, Jessica, reçoit un SMS de l’une de ses camarades sportives qui lui annonce dans un premier temps sa défaite qu’elle à un peu de mal à avaler ainsi que son homosexualité. L’un des compagnons, Jonas, lui aussi homosexuel signal son soutien à cette dernière, mais considère qu’étant une fille, sa situation doit être plus compliquée. Affligée par ce machisme, Jessica décide de dégonfler les pneus des garçons et de partir en tête avec son autre camarade féminine du groupe.
Cochon’net
Réalisation : Stéphane Tournu-Romain
Dans un club de pétanque, Louis Gardel, un des joueurs finis par se rendre compte de la discussion ouvertement raciste qu’un de ses amis a avec l’une de ses connaissances sur Internet. Bien que son camarade tente de lui faire entendre raison, ce dernier s’enfonce dans un discours de banalisation ordinaire du racisme. Exaspéré par la tenue de propos aussi choquant dans son club, le responsable fini par demander au jeune raciste de bien vouloir quitter les lieux et de ne plus revenir. Il finit par obtempérer non sans lancer une dernière tirade « Quoi, tu vas porter plainte ? ».
Service compris et volée de bois de vert
Réalisation : Stéphane Tournu-Romain
Lors d’une partie de tennis mixte, Luc passe son temps à commenter la moindre action des joueurs à grand renfort de propos homophobes et sexistes. Sa compagne finie par être complétement exaspéré par le comportement de son mari qui s’attire les foudres des autres spectateurs, mais aussi des joueurs et décide de partir, honteuse de son comportement. De plus, l’un des joueurs décide de lui mettre la raquette entre les mains, lui proposant de jouer à sa place.
Transparent comme de l’eau
Réalisation : Stéphane Tournu-Romain
Dans un club de water-polo, un coach sportif emploie toujours des méthodes dépassées afin de motiver son équipe, et cela, à grand renfort de propos homophobes. L’un des nageurs qui lui est homosexuel est constamment rabaissé par ce dernier, mais n’ose pas répliquer ayant déjà eu de graves soucis dans un autre club. L’un de ses coéquipiers le remarque et tente d’aider son camarade. Cependant, ils se retrouvent bloqués par un mur formé par l’incompréhension du coach et finissent par décider de retourner au vestiaire et de partir, bientôt suivi par le reste de l’équipe.
