Compagnie Le Trimaran

Nom de l’auteur/autrice :Devtrim

Médaille d’or pour Jean-François Ducay

Toutes nos félicitations à Jean-François Ducay En effet, le pongiste Jean-François Ducay a remporté la médaille d’or aux jeux paralympiques de Rio samedi en tennis de table (classe 1-2). Une victoire en équipe contre la Corée du Sud et une véritable consécration pour l’athlète qui a déjà remporté de nombreux titres (champion de France, vice-champion du monde, médaille d’argent aux JO de Londres en 2012…) mais qui n’avait jamais gagné l’or aux Jeux Olympiques. Grâce à sa victoire contre la Corée du Sud, il a enfin pu monter sur la première marche du podium. Il y a quelques années, il avait participé à l’un des clips réalisés par Stéphane « Bière qui roule n’amasse pas de mousse » sur le comportement inapproprié des spectateurs lors d’une rencontre sportive qui montrait que même face au handicap, il pouvait y avoir du racisme ordinaire en compagnie de Yassire Bakhalou et du footballeur Mamfa Camara produit par Le Trimaran pour le Pôle S.E.M.C. du Ministère des Sports. Nous n’avons pas oublié, Bravo Messieurs !!! article 19/09/2016

Hommage à Georges SEGUY

Hommage : Georges Séguy était un homme politique, résistant et syndicaliste français qui nous a quitté le samedi 13 août 2016. Durant la seconde guerre mondiale, alors apprenti imprimeur, il adhère, évidemment clandestinement aussi, aux Jeunesses communistes et il devient l’un des responsable d’un groupe des Francs-tireurs et partisans français (FTPF). Le 4 février 1944, il est arrêté par la Gestapo, sur dénonciation, avec tout le personnel de l’imprimerie. La police ignore les activités exactes de Georges Séguy. Après trois semaines à la prison de Toulouse il est envoyé au camp de Compiègne d’où il part pour l’inconnu de la Déportation. Il est âgé de 17 ans. Il arrive deux nuits plus tard au camp de Mauthausen (Autriche). Le camp est libéré fin avril 1945 par les armées américaines et soviétiques. À son retour, le 5 mai 1945, il pèse 38 kilos et selon ses termes « a du mal à « refaire surface » ». Il place cet épisode de sa vie comme le moment fondateur de toute son existence : «J’ai tout de suite pensé que dans la mesure où j’avais eu la chance inespérée de figurer parmi les rescapés, de revenir vivant de la déportation, ma vie en quelque sorte ne m’appartenait plus ; elle appartenait à la cause pour laquelle nous avions combattu et pour laquelle tant des nôtres étaient morts ». Le survivant Georges Séguy, est devenu, l’âge de la transmission venu, un militant de la mémoire des déportés. par la suite , il fera de la politique et deviendra durant quinze ans le secrétaire géneral de la confédération générale du travail. Par ailleurs, il était venu voir le spectacle « La Légende du Front Populaire » de Stéphane à la salle Jean Mermoz à Toulouse et il avait échangé sur scène dans notre décor. Nos pensées vont à sa famille et à ses amis. Qu’il repose en paix…

Merci …

MERCI pour vos messages de soutien et de compassion, MERCI pour une sacrée mascotte que l’on n’oubliera pas de sitôt, Tout simplement MERCI pour avoir eu une pensée pour VOLGA Merci à Ninouche, Lolo, Fred, Chris, JeanPhi, Bella, Val, Théa, Loan, Frédéric, Sébastien, Tibo, Grégory, René, Cynthia, Brice, Mathias, Jérémy, Mammick, Aurélie, Marie Josée, Ludo, Élodie, Maxou, Dimitri, Laurent C, Aurélie, Delphine, Nora, Jean François, Cécile V, Valérie, Yassire, Maria, Marie Josée, Gilles, Elda, Eric, Angélique, Franck, Chantal, Stéphane H, Cécile L, Fabrice, Alexandre, Monique, Laurent L, Annick, Christian, Martine, Blue Ochhi, Marie Ange, Sylvie, Stéphane G., Véronique, Darren, Nicole, Danièle, Arnaud L, Marie Ange, Arnaud T, Michelle, Patricia, Jo, Caroline, Alena, Jean Claude, Anne, Sophie, …   Stéphane Tournu-Romain

Hommage à U’Volga des Neiges Bleues d’Euzakadi …

Si je devais écrire une ode à la bienveillance, c’est de ton exemple que je me servirais, U’Volga des Neiges Bleues d’Euzakadi de ton vrai nom. Tu m’as apporté, ainsi qu’à notre entourage, plus de bonheur que bon nombre de nos contemporains en qui j’avais foi. Tu étais sans aucun doute la plus sociable (parfois trop) de nos mascottes et ta bonté rayonnait autour de nous. Tu savais être discrète et te manifester quand le besoin s’en faisait sentir. Tes aboiements vont me manquer, ce que tu étais va me manquer, ton sourire va me manquer. Ah le sourire d’un samoyède. T’inquiètes, on se retrouvera !